jeudi 4 novembre 2010
Miller et Hugo, les tombeurs de françaises
Ces deux vieillards sont, de loin, les deux lascars qui font le plus fantasmer les filles francophones qui aiment lire. Elles en redemandent et sont amoureuses de ces deux types alors que bon...Hugo c'est super, certes, mais pour les ados, et Miller c'est très bien, oui, mais pour les obsédés. Je ne comprends pas. Et en plus ils emballaient déjà de leur vivant, comme l'autre pépé, regardez le ! fier comme un paon dans sa chaise roulante devant le photographe avec sa dernière copine rencontrée lors d'une soirée dédicace. Et pour Hugo, le vieux cochon, c'était la même chose.
Souvent, dans les asiles, on rencontre des jeunes filles qui se disent "hugolienne hugolâtre"...à comprendre qu'elles balanceraient (ou qu'elle l'ont effectivement fait) leur petit copain du moment dans le canal sans hésiter, pour inspirer, de leur corps, de tels patriarches, pourvu que ces derniers daignent, bien sûr, les honorer d'un sourire ou d'un petit mots gentil, du genre "tu es bonne" ou "rallume ma flamme"...
Quand on compare cette comédie avec les amours de Jean-Jacques, tout de même, c'est un autre monde. Mais qui a raison, qui se trompe ? je ne sais plus. Les femmes n'aiment pas Jean-Jacques. Personne n'est dupe. Quand il raconte qu'il finit par un baise-main, un truc qui était parti pour un trio en nature....c'est peut-être, surtout, parce que les deux filles n'étaient pas si conquises que ça. Qui est le plus enviable ? Hugo et Miller après avoir consommé une demi douzaine de leurs admiratrices en une soirée, ou Rousseau avec son souvenir de la main de la fille ?
S-A
Voir aussi : http://spqrxx.blogspot.com/2010/11/extrait-des-confessions-de-rousseau_04.html
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