Grâce à Djamel, http://spqrxx.blogspot.com/2011/11/la-banlieue-france-tv.html, nous savons désormais que les allemands sont plus intelligents que nous, parce que les françaises travaillent, et pas les allemandes. On peut dire qu'il y a une relation de causalité entre le taux d'activité chez la femme et la pauvreté du tissus économique, ou social, d'une ville, d'une région ou d'un Etat. Ce sont des choses très nouvelles.
Regardons la carte des PIB en Europe par régions (Source : Raymond Woessner)
Une toile d'un fauvisme scientifique échevelé, une danse de formes colorées |
La tache rouge présente les espaces les plus riches ; Italie centre et nord, Allemagne de l'ouest, Flandre et Pays-Bas. + Paris et Londres. La France est moins riche. La richesse et l’intelligence est générée par l'économie urbaine. Donc une grande partie de l'Allemagne et de l'Italie est bien dégourdie. En France, Paris est la seule ville qui existe, et, malheureusement, c'est une ville de con, surtout en son centre, c'est un phénomène que les psychiatres nomment la con-centration.
Quand, à la fin de l'extrait avec Djamel, la fille dit que 80% des pauvres français ne vivent pas en banlieue, elle veut dire qu'ils sont provinciaux. Le banlieue parisienne est riche économiquement, mais elle est un vide culturel et social. Pour nuancer l'équation du début, le travail des femmes françaises provoque, en province, de la pauvreté, et, en région parisienne, de la richesse économique, corrélée avec une misère sociale et amoureuse, dont parle Djamel.
A Naples on peut lire : Nella città che meno opportunità offre alle donne, dove 3 su 4 sono fuori dal mercato del lavoro, fanno quello che riesce loro meglio: crescere i figli.
La fonction de ces femmes de Naples ne doit pas être interprétée comme résultant d'une économie de la pauvreté, mais comme une innovation rendue possible par la disponibilité ( le temps libre) et la compétence de ces femmes à s'occuper d'autrui. En comparaison, les femmes françaises qui travaillent en région parisienne dans l'armement, le nucléaire ou le journalisme, deviennent méchantes. Quand aux femmes provinciales, elles épuisent le territoire aménagé, car elle sont incapable de se renouveler et d’innover, à l'image des Napolitaines.
En conclusion, nos femmes sont des forces qui vont, mais on ne sait pas où
http://spqrxx.blogspot.com/2011/11/lamenagement-le-territoire-lenclavement.html
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