Encore de l'écriture qui pue la cochonnaille de journaliste français.
"Dès que les deux enregistreurs auront été retrouvés, un navire de la marine nationale viendra les récupérer sur l'Île de Sein pour les emmener en Guyane. Il semble exclu qu'une escale soit prévue au Brésil par crainte d'une saisie de ces pièces essentielles au déroulement des enquêtes technique et judiciaire. Puis, à bord d'un des avions de ligne quotidiens depuis Cayenne, les enregistreurs seront acheminés au Bourget au BEA qui dispose des bancs spécialisés de lecture. "
En particulier :
"Il semble exclu qu'une escale soit prévue au Brésil par crainte d'une saisie de ces pièces essentielles au déroulement des enquêtes technique et judiciaire". Au début je me suis dit. Bravo, le journaliste écrit comme si c'était l'évidence que les français ne veulent pas que les Brésiliens participent à l'enquête, quitte à leur cacher des informations. Airbus et Air France ne veulent pas être reconnus coupables et donc payer des centaines de millions d'Euros. J'avais lu : "par crainte [de la part d'Air France et d'Airbus] d'une saisie de ces pièces essentielles au déroulement des enquêtes technique et judiciaire [menées par les brésiliens]" Je pensais qu'il évoquait l'enquête brésilienne, ce qui aurait été possible parce qu'il y en a une.
Mais en fait, pas du tout. Il faut lire ça comme ça : "par crainte d'une saisie [de la part de ces sauvages de Brésiliens qui sont des incapables et malveillant en plus] de ces pièces essentielles au déroulement des enquêtes technique et judiciaire [effectuée en France par le BEA, seul capable de lire les boîtes noires.]
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