"Ce blog pour réapprendre aux femmes à aimer vivre avec les hommes, et mieux comprendre le monde francophone contemporain"
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dimanche 1 mai 2011

La vie en société est chiante comme un 1er mai

1-La vie en société est chiante, car les autres c'est l'enfer. L'être humain lorsqu'il grandit en humanité est poussé à s'éloigner de ses semblables pour conserver la paix de l'âme et de l'esprit. Cet être humain devient un être d'exception qui ne supporte plus que la proximité d'autres êtres d'exception. Cet être peut défendre la démocratie et l'égalité de tous devant la loi, par principe, mais il trouve ça porfondément ennuyeux.
2- Certains moments -entendre espace spatio-temporels dans l'histoire de l'humanité- de la société sont chiants, car ce sont des moments de brouillages sémantiques, au cours desquels on ne peut de toute façon pas, se faire à la société dans laquelle on vit, car elle se définit elle-même en opposition avec toute notion d'identité. Elle se définti comme la non-société et elle trouve ça formidable. "Ensemble pour tous nous séparer" pourrait être son mot d'ordre.
La 2e solution est facile à combattre pour ses sopposants. "Vous créez un passé mythique, d'une société parfaite, mais non la société est ainsi telle que vous la voyez."Ils ajoutent  "Et encore celle-là est plutôt pas mal, il y a bien pire : regardez les musulmans comment il traient les femmes, rien que d'y penser..." C'est là que le bât blesse : il n 'y a pas mieux, mais il y a pire ! Paradoxal n'est-il pas ? S'il y a pire, c'est bien qu'il peut y avoir mieux. Cela signifie aussi que l'on peut porer un jugement sur une société, et que l'on peut se tromper en l'émettant. Cela signifie aussi que forcément on est influencé par sa position d'émetteur du jugement, en l'occurence français. Ce que les français ont beaucoup de mal à comprendre, puisque la majortié de ceux qui se flattent de penser se vantent aussi de ne pas être nationalistes, pas influencés culturelleemnt par leur territoire et leur histoire, c'est pour ça qu'il s pensent. Ce sont évidemment des tarés mais c'est une autre histoire. 
Il s'agit donc d'un sophisme qui cache un romantisme indécrottable, la maladie du "je", du "moi" et de "l'être".
NB : cette maladie survit très bien aujourd'hui car tout le monde le dit l'être s'oppose à l'avoir qui est mauvais, alors que l'être est bon. L'égoïsme abominable recouvert par ces notions n'est pas pris en compte. Nous sommes tous Rimbaud et vogue le bateau ivre.

GA 

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