A Berlin on respire, parce que c'est comme si c'était Paris avec uniquement Jacques Lang, débarrassé de Bolloré, Dassault, Supelec, et autre nuisibles.
Seulement voilà, si vraiment Jacques Lang était aux affaires, peut être que la vie deviendrait un enfer.
Ce ne sont pas les berlinois qui me donne un peu la nausée, c'est surtout de reconnaître à travers eux des pathologies parisiennes matinées d'un "je ne sais quoi" comme disait Marlène Dietrich en français.
Après la longue après midi en bibliothèque, quoi de mieux que de passer avec les copains chez son styliste préféré pour trouver la dernière robe à la mode en savourant une délicieuse petite bière ?
Ensuite, avec la nuit, les arrières cours alternatives se succèdent à elles même tout en en précédant d'autres
Cette fois confortablement chaussé on se pose où on peut à hauteur de paire jambes et on en profite pour s’entretenir intimement avec sa meilleurs amie, selon la riche tradition germanique de la communion des âmes "Die Seelengemeinschaft".
SA
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire